mercredi 14 mai 2025

Tipos de iatrogenia en detalle

 

🟧 Tipos de iatrogenia en detalle

Subtítulo: Comprender las distintas formas de daño médico para prevenirlas mejor

"Nombrar un mal ya es comenzar a sanarlo."
— Oscar Dossous


La iatrogenia, comúnmente definida como un efecto adverso causado por el acto médico, se presenta en diversas formas. Conocer esta variedad es esencial para comprender el fenómeno y construir estrategias de prevención adecuadas. Aquí te presentamos los tipos principales de iatrogenia observados en la práctica clínica.

1. Iatrogenia medicamentosa

La más frecuente. Incluye:

  • Efectos secundarios previstos pero mal tolerados
  • Sobredosis o interacciones medicamentosas
  • Prescripciones inadecuadas o innecesarias
    Puede provocar hospitalizaciones, complicaciones crónicas o incluso la muerte.

2. Iatrogenia quirúrgica o intervencionista

Se relaciona con procedimientos invasivos:

  • Lesiones involuntarias de órganos
  • Infecciones postoperatorias
  • Cicatrización retardada o secuelas permanentes

3. Iatrogenia diagnóstica

Ocurre cuando el proceso diagnóstico causa daño:

  • Diagnósticos erróneos que conducen a tratamientos innecesarios
  • Angustia emocional
  • Complicaciones por exámenes invasivos

4. Iatrogenia administrativa u organizacional

Deriva del mal funcionamiento del sistema de salud:

  • Retrasos en la atención
  • Errores en los expedientes médicos
  • Falta de coordinación entre profesionales

5. Iatrogenia psicológica

Muchas veces ignorada:

  • Comunicación inadecuada de diagnósticos
  • Trato deshumanizante
  • Ansiedad, aislamiento, pérdida de confianza

6. Iatrogenia social

Impacta al entorno del paciente:

  • Pérdida de empleo por incapacidad médica
  • Estigmatización
  • Ruina financiera familiar

Conclusión:
La iatrogenia no es solo un error con medicamentos. Puede ser técnica, emocional, organizacional o social. Reconocer sus múltiples caras es avanzar hacia una medicina más ética, más consciente, y más humana.



Les types de iatrogénie en détail



🟦 Les types de iatrogénie en détail

Sous-titre : Comprendre les différentes formes de préjudice médical pour mieux les prévenir

"Nommer un mal, c’est déjà commencer à le soigner."
— Oscar Dossous


La iatrogénie, souvent résumée comme un effet indésirable lié aux soins, se décline en plusieurs types. Comprendre cette diversité permet non seulement de mieux en parler, mais aussi de cibler les stratégies de prévention selon leur origine. Voici les principales formes de iatrogénie observées dans la pratique médicale.

1. Iatrogénie médicamenteuse

C’est la forme la plus courante. Elle regroupe :

  • Les effets secondaires attendus mais mal tolérés
  • Les surdosages ou interactions médicamenteuses
  • Les prescriptions inappropriées ou inutiles
    Cette iatrogénie peut entraîner hospitalisation, complications chroniques ou décès.

2. Iatrogénie chirurgicale ou interventionnelle

Elle découle d’un acte opératoire ou d’un geste technique (biopsie, endoscopie, cathétérisme) :

  • Lésions non intentionnelles d’organes
  • Infections post-opératoires
  • Retards de cicatrisation ou séquelles
    Même en l'absence de faute, un risque existe dès qu'un geste invasif est réalisé.

3. Iatrogénie diagnostique

Certains examens ou procédures diagnostiques peuvent eux-mêmes causer un préjudice :

  • Faux diagnostics conduisant à des traitements inutiles
  • Angoisse inutile chez le patient
  • Complications d’un examen invasif (ponction lombaire, coloscopie)

4. Iatrogénie administrative ou organisationnelle

Elle survient lorsque le système de soins, mal coordonné, devient lui-même toxique :

  • Retards de prise en charge
  • Erreurs de dossier médical
  • Mauvaise communication entre services ou professionnels

5. Iatrogénie psychologique

Souvent négligée, elle touche l’état émotionnel du patient :

  • Mauvaise annonce d’un diagnostic
  • Attitudes déshumanisantes du personnel soignant
  • Isolement, anxiété ou perte de confiance dans le système de soins

6. Iatrogénie sociale

Certaines décisions médicales ont des impacts indirects mais lourds :

  • Perte d’emploi à cause d’un arrêt prolongé
  • Stigmatisation liée à un diagnostic
  • Dépenses catastrophiques pour la famille

Conclusion :
La iatrogénie ne se limite pas à un mauvais médicament. Elle peut être technique, humaine, émotionnelle ou même sociale. La reconnaître dans toutes ses dimensions, c’est faire un pas vers une médecine plus éthique, plus responsable, et surtout plus humaine.



vendredi 2 mai 2025

Histoire de la iatrogénie médicale

Des saignées d’autrefois aux surdoses modernes

L’histoire de la médecine est une aventure humaine fascinante. Elle est jalonnée de découvertes extraordinaires, de progrès fulgurants… mais aussi d’erreurs tragiques. Parmi celles-ci, la iatrogénie a toujours été là, tapie dans l’ombre des bonnes intentions.

Revenir sur l’histoire de la iatrogénie, c’est comprendre que les dangers du soin ne sont pas nouveaux, mais qu’ils évoluent avec les époques. Ce voyage dans le temps nous montre à quel point la vigilance est indispensable, même (et surtout) quand la science avance.


Des débuts empiriques… aux conséquences parfois fatales

Dans l’Antiquité, la médecine reposait sur des pratiques empiriques, parfois efficaces, souvent risquées. L’idée dominante était que le corps devait retrouver un équilibre des « humeurs » (sang, bile, flegme, etc.).
Résultat : des pratiques comme les saignées, purges et lavements étaient courantes, souvent prescrites en excès.

Le paradoxe : le médecin pensait faire le bien, mais il affaiblissait souvent davantage le malade. Certains patients mouraient… non de leur maladie, mais du traitement lui-même.


Le Moyen Âge et la Renaissance : médecine et croyances

Le Moyen Âge mêle médecine, religion et superstition. L'absence de connaissance sur les microbes et les infections rend les interventions dangereuses. La chirurgie, par exemple, est rudimentaire et pratiquée sans antisepsie ni anesthésie.

La Renaissance voit apparaître les premières dissections, une meilleure compréhension du corps humain… mais la iatrogénie persiste : médicaments à base de mercure, pratiques toxiques, erreurs de dosage sont fréquents.


Le XIXe siècle : la médecine moderne naît… et ses effets secondaires aussi

Avec Pasteur, Koch et l’avènement de la microbiologie, la médecine devient enfin scientifique. L’introduction de l’asepsie, des vaccins, puis des antibiotiques change la donne.

Mais chaque progrès amène de nouveaux risques :

  • Les premiers vaccins provoquent des réactions sévères chez certains.
  • Les anesthésies générales mal maîtrisées entraînent des décès.
  • Des médicaments comme la morphine ou la digitaline deviennent populaires, mais provoquent des intoxications par surdosage.

La médecine entre dans une ère puissante… mais pas toujours contrôlée.


Le XXe siècle : l’explosion thérapeutique… et les scandales

C’est le siècle de tous les progrès : antibiotiques, chimiothérapie, chirurgie cardiaque, greffes, psychotropes, imagerie médicale…
Mais aussi celui des plus grandes catastrophes iatrogènes :

Le cas de la Thalidomide (1957-1961)

Ce médicament prescrit aux femmes enceintes pour soulager les nausées a provoqué la naissance de milliers d’enfants avec des malformations graves.
Un choc mondial. Et un tournant dans l’histoire du contrôle pharmaceutique.

D’autres exemples :

  • Le Distilbène, prescrit pendant la grossesse, a causé des cancers chez les filles exposées.
  • L’amiante, longtemps utilisé sans précaution, a tué des milliers de travailleurs.

Ces crises ont conduit à une prise de conscience : on ne peut pas faire confiance aveuglément à la médecine moderne.
La notion de pharmacovigilance est née.


Aujourd’hui : progrès maîtrisés… ou nouvelles menaces ?

Aujourd’hui, les réglementations sont plus strictes. Les essais cliniques, la surveillance des effets indésirables, les bases de données partagées ont amélioré la sécurité des soins.

Mais la iatrogénie n’a pas disparu :

  • La polypharmacie (surtout chez les personnes âgées) expose à des interactions multiples.
  • L’automédication et la désinformation sur Internet favorisent les abus.
  • La pression économique peut conduire à des raccourcis thérapeutiques risqués.

Conclusion : un regard lucide et humble

La médecine a toujours été double : porteuse de vie, mais aussi potentiellement destructrice.
C’est en acceptant cette ambivalence que nous pouvons avancer vers une pratique plus éthique, plus prudente, plus humaine.

Comprendre l’histoire de la iatrogénie, c’est reconnaître que la vérité médicale est toujours en construction.
Et que la vigilance ne doit jamais être considérée comme un frein, mais comme le socle de la confiance.


À méditer :
"Le danger, ce n’est pas l’ignorance. C’est de croire que l’on sait."
George Bernard Shaw



lundi 28 avril 2025

Introducción a la iatrogenia: un mal silencio


Cuando el remedio a veces se convierte en veneno

En el imaginario colectivo, la medicina es sinónimo de curación, alivio y protección contra el sufrimiento. Sin embargo, existe una realidad más discreta, a menudo desconocida: aquella donde el acto de sanar, pese a las mejores intenciones, puede convertirse en fuente de daño. Este fenómeno tiene un nombre: iatrogenia.

Una palabra erudita para un peligro muy real. Un peligro que crece con la complejidad de los cuidados modernos, la multiplicación de los tratamientos y el aumento de la esperanza de vida. Hoy, hablar de iatrogenia es abrir los ojos ante un gran desafío de salud pública.

¿Qué es la iatrogenia?

El término "iatrogenia" proviene del griego iatros (médico) y genes (que genera). Se refiere al conjunto de efectos adversos provocados por la propia acción médica, ya sea relacionada con medicamentos, intervenciones quirúrgicas, exámenes o incluso la relación terapéutica.

Concretamente, puede tratarse de:

  • Un medicamento prescrito que provoca un efecto secundario grave,
  • Una cirugía que desencadena una infección,
  • Un examen radiológico con una dosis de radiación excesiva,
  • Un error de diagnóstico o una mala comunicación entre el médico y el paciente.

La iatrogenia no siempre es consecuencia de un error: a veces ocurre incluso respetando estrictamente las buenas prácticas. Porque todo acto médico implica, por naturaleza, un riesgo.

¿Por qué es un tema crucial hoy?

Con los avances médicos, tenemos acceso a tratamientos cada vez más potentes y tecnologías cada vez más sofisticadas. Esto ha salvado millones de vidas.
Pero cuanto más rico es el arsenal terapéutico, mayor es el riesgo de provocar efectos adversos.

Algunas cifras para dimensionar el fenómeno:

  • En Francia, se estima que aproximadamente el 10% de las hospitalizaciones se deben a eventos iatrogénicos.
  • Cada año, entre 10,000 y 30,000 muertes estarían relacionadas con accidentes medicamentosos evitables.
  • En personas mayores, la iatrogenia medicamentosa es una de las principales causas de hospitalización de emergencia.

Y estos números sólo consideran los casos más graves reportados en hospitales. Muchos efectos secundarios más leves, pero discapacitantes en el día a día, pasan desapercibidos en las estadísticas.

La iatrogenia es, por tanto, un mal silenciososubestimado y omnipresente.

Las principales formas de iatrogenia

La iatrogenia puede adoptar diversas formas, que podemos agrupar en grandes categorías:

1. Iatrogenia medicamentosa

Es la más frecuente. Resulta de un medicamento mal adaptado, mal dosificado o de interacciones entre varios tratamientos.
Ejemplo: una persona mayor que toma simultáneamente un antidepresivo, un somnífero y un antihipertensivo puede sufrir caídas graves debido a hipotensión o somnolencia excesiva.

2. Iatrogenia quirúrgica

Incluso una operación perfectamente realizada implica riesgos: infección nosocomial, hemorragia, complicaciones anestésicas… Algunos gestos simples también pueden causar efectos secundarios inesperados.

3. Iatrogenia diagnóstica

Un examen médico como una resonancia magnética o una tomografía puede exponer a dosis significativas de radiación ionizante. Exámenes innecesarios o mal interpretados también pueden llevar a tratamientos equivocados.

4. Iatrogenia relacional

Menos visible pero igualmente importante: una mala comunicación médico-paciente puede generar malentendidos, rechazos de tratamiento y errores en la adherencia terapéutica.

¿Se puede evitar la iatrogenia?

Evitar completamente la iatrogenia es ilusorio. Pero se puede reducir considerablemente mediante buenas prácticas:

  • Informar mejor a los pacientes sobre los beneficios y riesgos de los tratamientos,
  • Simplificar las prescripciones y evitar la polimedicación innecesaria,
  • Implementar protocolos de seguridad en hospitales,
  • Fomentar la declaración de eventos adversos para analizarlos,
  • Fortalecer la comunicación entre profesionales de la salud.

El propio paciente también tiene un rol: ser protagonista de su cuidado, hacer preguntas, señalar cualquier efecto secundario sospechoso y evitar la automedicación.

Una responsabilidad colectiva

La iatrogenia no es una fatalidad. Es una alerta: nos recuerda que curar es un arte delicado, donde la humildad debe prevalecer.

Médicos, farmacéuticos, enfermeros, pacientes: todos tenemos un papel que jugar para hacer la atención más segura, más transparente y más humana.

Hablar de iatrogenia no es acusar, es comprender mejor para prevenir mejor. Detrás de cada estadística hay una historia humana, a menudo dolorosa, que tal vez pudo evitarse.

Y en esta búsqueda de una medicina más segura, cada toma de conciencia es un paso adelante.


Para reflexionar:
"El primer deber del médico es despertar la vigilancia, no adormecer la confianza."
— Louis Pasteur



dimanche 27 avril 2025

Introduction à la iatrogénie : un mal silencieux

Quand le remède devient parfois le poison

Dans l’imaginaire collectif, la médecine est synonyme de guérison, de soulagement, de protection contre la souffrance. Pourtant, il existe une réalité plus discrète, souvent méconnue : celle où l’acte de soigner peut, malgré les meilleures intentions, devenir une source de mal. Ce phénomène porte un nom : la iatrogénie.

Un mot savant pour un danger réel. Un danger dont l’ampleur grandit avec la complexification des soins modernes, la multiplication des traitements et l’allongement de la durée de vie. Aujourd'hui, parler de iatrogénie, c’est ouvrir les yeux sur un enjeu majeur de santé publique.

Qu’est-ce que la iatrogénie ?

Le terme « iatrogénie » vient du grec iatros (médecin) et genes (qui engendre). Il désigne l’ensemble des effets indésirables provoqués par l’acte médical lui-même, qu’il soit lié aux médicaments, aux interventions chirurgicales, aux examens, ou même à la relation thérapeutique.

Concrètement, il peut s'agir :

  • D’un médicament prescrit qui entraîne un effet secondaire grave,
  • D’une opération chirurgicale qui déclenche une infection,
  • D'un examen radiologique dont la dose de rayonnement est excessive,
  • D’une erreur de diagnostic ou d’une mauvaise communication entre soignant et patient.

La iatrogénie n’est pas toujours la conséquence d'une faute : parfois, même en respectant parfaitement les bonnes pratiques, elle survient. Car tout acte médical comporte, par nature, une part de risque.

Pourquoi est-ce un sujet crucial aujourd’hui ?

Avec les progrès de la médecine, nous avons accès à des traitements de plus en plus puissants, à des technologies de plus en plus sophistiquées. Cela a sauvé des millions de vies.
Mais plus l’arsenal thérapeutique est riche, plus le risque de provoquer un effet indésirable augmente.

Quelques chiffres pour mesurer l'ampleur du phénomène :

  • En France, on estime qu’environ 10% des hospitalisations sont dues à des événements iatrogènes.
  • Chaque année, entre 10 000 et 30 000 décès seraient liés à des accidents médicamenteux évitables.
  • Chez les personnes âgées, la iatrogénie médicamenteuse représente l’une des principales causes d’hospitalisation d’urgence.

Et ces chiffres ne concernent que les cas les plus graves, rapportés dans les hôpitaux. De nombreux effets secondaires plus légers, mais handicapants au quotidien, passent inaperçus dans les statistiques.

La iatrogénie est donc un mal silencieux, sous-estimé, mais omniprésent.

Les formes principales de iatrogénie

La iatrogénie peut prendre plusieurs visages, que l’on peut regrouper en grandes catégories :

1. La iatrogénie médicamenteuse

C’est la plus fréquente. Elle résulte d’un médicament mal adapté, mal dosé, ou d’interactions entre plusieurs traitements.
Exemple : une personne âgée prenant simultanément un antidépresseur, un somnifère et un antihypertenseur peut subir des chutes graves à cause d’une hypotension ou d’une somnolence excessive.

2. La iatrogénie chirurgicale

Même une opération parfaitement réalisée comporte des risques : infection nosocomiale, hémorragie, complications anesthésiques… Certains gestes simples peuvent aussi entraîner des effets secondaires inattendus.

3. La iatrogénie diagnostique

Un examen médical, comme une IRM ou un scanner, peut exposer à des doses de rayons ionisants non négligeables. Des examens inutiles ou mal interprétés peuvent aussi entraîner des traitements erronés.

4. La iatrogénie relationnelle

Moins visible, mais non moins importante : une mauvaise communication médecin-patient peut induire des incompréhensions, des refus de soins, des erreurs d'observance, donc une perte d'efficacité des traitements.

Peut-on éviter la iatrogénie ?

Éviter totalement la iatrogénie est illusoire. Mais il est possible de la réduire considérablement par une série de bonnes pratiques :

  • Mieux informer les patients sur les bénéfices et les risques des traitements,
  • Simplifier les prescriptions et éviter la polypharmacie inutile,
  • Mettre en place des protocoles sécurisés dans les hôpitaux,
  • Encourager la déclaration des événements indésirables pour mieux les analyser,
  • Renforcer la communication entre les professionnels de santé.

Le patient lui-même joue aussi un rôle : il doit être acteur de son parcours de soin, oser poser des questions, signaler tout effet secondaire suspect, et éviter l'automédication hasardeuse.

Une responsabilité collective

La iatrogénie n’est pas une fatalité. C’est une alerte : celle qui nous rappelle que soigner est un art délicat, où l’humilité doit rester de mise.

Médecins, pharmaciens, infirmiers, patients : nous avons tous un rôle à jouer pour rendre les soins plus sûrs, plus transparents, plus humains.

Parler de iatrogénie, ce n’est pas accuser. C’est chercher ensemble à mieux comprendre, pour mieux prévenir. Car derrière chaque statistique, il y a une histoire humaine, souvent douloureuse, qui aurait peut-être pu être évitée.

Et dans cette quête d’une médecine plus sûre, chaque prise de conscience est une avancée.


À méditer :
"Le premier devoir du médecin est d’éveiller la vigilance, non d’endormir la confiance."
Louis Pasteur



dimanche 23 février 2025

L'affaire pénale du médecin haïtien ou l'histoire désastreuse d'une relation

Le nombre de signalements d'erreurs médicales connaît une croissance. Alors que certaines arrivent directement au tribunal, d'autres sont le sujet d'émissions sensationnelles dans les médias. Cela entraîne des conséquences tant pour le médecin que pour le patient. Les patients ont assurément des droits, y compris celui d'être informés de leur diagnostic et des traitements suggérés, ainsi que des risques et complications associés. Celle-ci doit également être administrée de manière experte, prenant en compte l'état actuel des connaissances et les ressources disponibles dans le domaine. 

vendredi 3 mai 2024

iatrogène ou iatrogénique


Toute Trouble ou maladie provoqués par un acte médical ou par les médicaments, même en l'absence d'erreur du médecin🤔🤔🤔🤔🤔🤔

lundi 29 juin 2020

Silence



Silence.

Au coeur des multitudes de mots non prononcés, se trouve ce mot fort pour les retenir (Silence). Mais, est-il nécessaire de maintenir ce silence même au dernier soupir ?

Parfois, de nombreuses idées et de positions géniales s'abandonnent sous l'emprise du silence. C'est le moment de dévoiler tous les mensonges, tous les abus. Il y a certaines choses qu'on ne peut pas dissimuler, des choses qui sont vraiment impossible à cacher trop longtemps, comme les rayons du soleil et de la lune, et  la force de la vérité. On dit dans l'Ecclésiaste 3.1-15, il ya un temps pour tout, un temp pour toute chose sous les cieux.

Cesser de manipuler ou d'abuser, car dès aujourd'hui, on ne va rien retenir. Le temps des muets arrive à sa fin.
*Oscar Doss*


vendredi 12 juillet 2019

Es Hora

Después de mucho tiempo creo que es hora, han pasado 2 años, dos años sin escribir nada. Claro que sí es hora, hora de regresar. 
Iatrogenik 

dimanche 14 août 2016

Mal aimés

Mal aimés 
Je suis venu de l'espace 
Déposé sur cette planète 
Par un être gigantesque 
Je n'avais pas tout a fais d'aspect 
Je n'avais pas vraiment de grâce 
On m'avait réservé une place 
Non loin du cœur de cette espèce 
Qu'on nomme les < Mal aimés >  

Je n'avais pas de nom  
Pas de Cœur et pas d'âme 
Au dire de ceux qui m'entouraient 
J'ai grandi dans cette ambiance 
Où on en connait pas des mots 
Amour, tendresse, le mot caresse 
J'ai tout de suite été de cette espèce 
Qu'on nomme les < Mal aimés >  

Maintenant que je réalise 
Que je ne suis pas un infirme 
Pas un vicieux, un mal appris 
Qu'on m'a baptisé  bien malgré moi 
Je prends dès aujourd'hui 
Possession de mon identité 
Et j'écris sur mon cœur, ce nom félicité  
                                                       
                                                         O. Doss                                                                           
                                                    Le taciturne

mercredi 30 mars 2016

Le jour où je me suis aimé

Le jour où je me suis aimé pour de vrai
 J’ai compris qu’en toutes circonstances,
 J’étais à la bonne place,  Au bon moment.
 Et, alors, j’ai pu me relaxer.
 Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Estime de soi.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
 J’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, N’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
 Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Authenticité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
 J’ai cessé de vouloir une vie différente
 Et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue ma croissance personnelle.
 Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
 J’ai commencé à percevoir l’abus
 Dans le fait de forcer une situation ou une personne, Dans le seul but d’obtenir ce que je veux, Sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts
 Et que ce n’est pas le moment.
 Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Respect.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
 J’ai commencé à me libérer
 De tout ce qui ne m’était pas salutaire,
 Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme,
 Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Amour Propre.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
 J’ai accepté d’avoir peur du temps libre
 Et j’ai arrêté de faire des grands plans,
 J’ai abandonné les mégaprojets du futur.
 Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, Quand ça me plait et à mon rythme.

 Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
 J’ai cessé de chercher a toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.

 Aujourd’hui, j’ai découvert l’Humilité
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
 J’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
 Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
 Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, Et ça s’appelle Plénitude.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
 J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir, Mais je la mets au service de mon cœur, Elle devient un allier précieux.


Charlie Chaplin

Prière de l’Amour de Soi – Don Miguel Ruiz

Aujourd’hui, je m’accepte tel(le) que je suis, sans me juger.


J’accepte mon esprit tel qu’il est, avec toutes mes émotions, tous mes espoirs et mes rêves, ma personnalité, ma façon d’être unique.
J’accepte mon corps tel qu’il est, dans toute sa beauté et sa perfection.


Que l’amour que j’ai envers moi-même soit si fort que jamais plus je ne me rejette, ni ne sabote mon bonheur, ma liberté et mon amour.


Désormais, que chacune de mes actions, de mes réactions, de mes pensées et de mes émotions soit fondée sur l’amour.


J’accrois mon amour pour moi-même, jusqu’à ce que tout le rêve de ma vie soit transformé et que la peur et les drames cèdent la place à l’amour et la joie.


Que la puissance de mon amour pour moi soit assez forte pour briser tous les mensonges qu’on m’a programmé(e) à croire, tous ceux qui m’ont fait croire que je ne suis pas à la hauteur, pas assez fort(e), pas assez intelligent(e), et que je ne m’en sortirai pas.


Que la puissance de mon amour pour moi soit si forte que je n’aie plus besoin de vivre ma vie en accord avec l’opinion d’autrui.


J’ai une confiance totale en ma capacité à effectuer les choix que je dois faire.


Paré(e) de mon amour pour moi je n’ai plus peur de faire face à quelque responsabilité que ce soit dans ma vie, ni à quelque problème dont je trouve la solution quand il se présente.
Quoi que je veuille accomplir, puissé-je le faire avec la puissance de mon amour pour moi-même.


A partir aujourd’hui, je m’aime tellement moi-même que je ne fais plus rien contre moi.
Je peux vivre ma vie en étant moi-même et non en prétendant être quelqu’un d’autre dans le but de plaire à autrui.


Je n’ai plus besoin que les autres me disent du bien de moi, car je sais qui je suis.
Grâce à mon amour pour moi, je prends désormais plaisir à l’image que me renvoie le miroir de moi-même.


Qu’un sourire illumine mon visage et qu’il accroisse ma beauté intérieure et extérieure.
Je ressens un tel amour pour moi que ma propre présence m’est toujours un plaisir.


Je m’aime sans jugement, car lorsque je me juge, il en résulte des reproches et de la culpabilité puis le besoin de me punir, de sorte que je perds de vue mon amour.


Je fortifie ma volonté de me pardonner en cet instant. Je nettoie mon esprit de tout poison émotionnel et de tout jugement afin de vivre dans la paix et l’amour.


Que mon amour pour moi-même soit la force qui change le rêve de ma vie !
Armé(e) de ce nouveau pouvoir dans mon cœur, le pouvoir de l’amour de soi, je transforme chacune de mes relations à commencer par celles que j’ai avec moi-même.
Je me libère de tout conflit avec autrui.


Je suis heureux(se) de passer du temps avec ceux qui me sont chers et je leur pardonne toute injustice encore ressentie en moi.


Je m’aime tellement que je peux pardonner quiconque m’a blessé(e) dans mon existence.
J’ai le courage d’aimer ma famille et mes amis sans condition et de modifier mes relations de la façon la plus positive et la plus empreinte d’amour.


Je crée de nouveaux canaux de communication dans mes relations, de manière à ce qu’il n y ait plus de guerre de pouvoir, ni de perdant ou de gagnant.


Je peux travailler en équipe, pour l’amour, pour la joie et pour l’harmonie.


Mes relations avec ma famille et mes amis sont fondées sur le respect et la joie, afin de ne plus ressentir le besoin de leur dire comment penser ou se comporter.


Mes relations romantiques sont les plus merveilleuses. La joie m’envahit chaque fois que je partage mon amour avec mon partenaire.


J’accepte les autres tels qu’ils sont, sans jugement, car lorsque je les rejette, je me rejette moi-même.


Et quand je me rejette, on me rejette.
Aujourd’hui, je prends un nouveau départ.
Je recommence ma vie en ce jour avec la puissance de l’amour de soi.


J’apprécie ma vie, j’apprécie mes relations, j’explore la vie, je prends des risques, je suis vivant(e), je ne vis plus dans la crainte de l’amour.


J’ouvre mon cœur à l’amour qui est mon droit de naissance. Je deviens Maître de la Gratitude, de la Générosité et de l’Amour afin de pouvoir jouir de toutes les créations à tout jamais.


Ainsi soit-il!


Don Miguel

samedi 5 décembre 2015

My radio web

http://jod757.radiostream123.com/ 

quand quelque Chose est juste il faut la faire.. . Que du bon son, de la bonne musique avec votre ami Oscar Doss,Sur JOD757 la radio de ton coeur: Gospel, worship songs, baladas, Compas, zouk,RnB, Pop ecttt
 si nou renmen sa kap fet la pa bliye ki te commentaire et suggestion.. Dieu vous benisse,. respect

Iatrogenia

Iatrogenia

En medicina se llama iatrogenia a cualquier tipo de alteración del estado del paciente producida por el médico. Se deriva de la palabra iatrogénesis que tiene por significado literal ‘provocado por el médico o sanador’ (iatros significa ‘médico’ en griego, y génesis: ‘crear’).
La iatrogenia es un estado, enfermedad o afección causado o provocado por los médicos, tratamientos médicos o medicamentos. Este estado puede también ser el resultado de tratamientos de otros profesionales vinculados a las ciencias de la salud, como por ejemplo terapeutas, psicólogos o psiquiatras, farmacéuticos, enfermeras, dentistas, etc. La afección, enfermedad o muerte iatrogénica puede también ser provocada por las medicinas alternativas.
Desde un punto de vista sociológico hay tres tipos de iatrogenia: iatrogenia clínica, social y cultural. Desde los albores de la civilización se han conocido los daños que pueden provocar las acciones de los médicos. Los párrafos 218 a 220 del Código de Hammurabi, grabado hace casi cuatro mil años, manifiestan los conocimientos que la sociedad civil utilizaba en la antigua Mesopotamia para defenderse frente a supuestos errores, temeridades y negligencias de los médicos.
Un milenio y medio más tarde Hipócrates recomendaba en la sección undécima del libro primero de las Epidemias: Ayudar o por lo menos no dañar ("Ofeleein i mi vlaptein", en el original griego). Esta frase inspiró el conocido aforismo latino "Primum non nocere" atribuido a Galeno.
La norma clásica de “ante todo no hacer daño” (primum non nocere) es una de las bases de la ética médica, y las enfermedades o muertes iatrogénicas provocadas voluntariamente por el médico o por negligencia han sido castigadas por la justicia en muchas culturas.
La transferencia de bacterias patógenas desde las salas de autopsia de los hospitales a las salas de maternidad llegó a provocar altísima mortalidad por sepsis puerperal (o fiebre puerperal) en las maternidades hospitalarias en los albores del siglo 19 y fue una de las catástrofes iatrogénicas de la época. La forma de infección fue identificada por Ignacio Felipe Semmelweis que simplemente lavándose las manos con un concentrado desinfectante redujo la mortalidad.
En el siglo XX con el desarrollo de la medicina científica (también llamada biomedicina), se podía esperar que los casos de enfermedades o muertes iatrogénicos se reduzcan considerablemente o desaparezcan siendo fácilmente evitables. Se dice que con el descubrimiento de los antisépticos, anestesia, antibióticos y nuevas técnicas quirúrgicas, la mortalidad iatrogénica disminuyó enormemente.

Causas de la iatrogenia

Hay varias causas de iatrogenia:
• error médico
• negligencia médica o procedimientos inadecuados (mala praxis).
• errores al escribir la receta o receta difícil de descifrar.
• interacción de los medicamentos recetados.
• efectos adversos de los medicamentos recetados.
• no contemplar los posibles efectos negativos del medicamento recetado.
• uso excesivo de medicamentos que lleva a la resistencia microbiana.
• tratamientos no seguros
• diagnóstico erróneo
• diagnóstico psiquiátrico o psicológico erróneo.
• rechazo por parte del médico a tomar en consideración los efectos negativos que el paciente dice sufrir.
• infección nosocomial (infección hospitalaria que aparece durante las primeras 48 horas después del ingreso hospitalario).
• infección intrahospitalaria.
• debida a afecciones musculares, sensoriales, nerviosas o mentales de los médicos.
• tortura aplicada por médicos.
• experimentación médica no ética.

Casos de iatrogenia

Radioterapia

Los efectos iatrogénicos no son siempre el resultado de errores médicos, errores en la cirugía, al recetar la medicación o tratamiento erróneo. De hecho una parte de los efectos adversos de ciertos tratamientos médicos son iatrogénicos; por ejemplo la radioterapia o quimioterapia debido a la agresividad de los agentes terapéuticos empleados provocan con frecuencia la pérdida del cabello, anemia, vómitos, náuseas, lesiones cerebrales, etc.

Letra ilegible

En otros casos son las negligencias o procedimientos inadecuados por parte de los médicos las que llevan a casos graves como puede ser cuando una receta se escribe con letra ilegible lo que puede provocar un error del farmacéutico al dispensar el medicamento, provocando un empeoramiento en el estado del paciente.

Interacción de medicamentos

Uno de los efectos iatrogénicos más frecuente es el provocado por la interacción de varios medicamentos. Cuando el médico no comprueba los medicamentos que el enfermo está tomando y receta otros que pueden ser incompatibles y potenciar o disminuir el efecto del primer tratamiento. Muchos casos de afecciones graves e incluso parte de la mortalidad entre los enfermos, son debidos a estos casos. Reacciones adversas como pueden ser la alergia a medicamentos, aunque no hayan sido previstos por el médico o farmacéutico son considerados también efectos iatrogénicos.

Resistencia a los antibióticos

La evolución de la resistencia bacteriana a los antibióticos, también se considera en ciertos casos como iatrogénica (Finlandia, 1979) Las cepas de bacterias resistentes a los antibióticos, han evolucionado a consecuencia del uso excesivo de antibióticos por parte de los médicos. En ciertas partes del mundo los antibióticos se recetan más que en otras, ya porque la gente los considera efectivos y los pide a su médico, ya porque hay médicos que recetan antibióticos para asegurarse que no haya problemas de sobreinfección o por puro negocio de éste con los laboratorios farmaceúticos.
Cuando los pacientes, sin estar completamente curados, notan que han desaparecido los síntomas, dejan de tomar el antibiótico, en lugar de continuar el tratamiento hasta el final para garantizar que las bacterias han sido eliminadas pueden provocar la rápida evolución de cepas resistentes a este antibiótico.

Terapias agresivas

Tratamientos médicos radicales o no probados también pueden considerarse como causantes de afecciones iatrogénicas e incluso numerosas muertes. Este es el recurso de "curar o matar" o de "curación desesperada" que en el pasado han llevado a la aplicación de terapias muy agresivas para intentar la curación de enfermos; cirugía cerebral (lobotomía), algunos tipos de terapia de choque o colostomía para el tratamiento de infecciones recurrentes.

Infecciones hospitalarias

El término nosocomial, se refiere a una afección o enfermedad iatrogénica debida o contraída durante la hospitalización del enfermo si ésta aparece después de las 48 horas de la admisión o durante los 30 días después de darle el alta. En muchos casos el personal de los hospitales al no seguir las adecuadas normas de higiene pueden provocar la aparición de infecciones nosocomiales. Según la OMS, buena parte de la responsabilidad es del personal médico de los hospitales por no seguir las directrices básicas de higiene, provocando la infección en sus pacientes.
Uno de los casos es la recomendación de que los médicos dejaran de usar corbatas ya que al inclinarse sobre los pacientes transmitían las bacterias de cama en cama. También recientemente se ha recomendado lavarse las manos con más frecuencia ya que, aunque se empleen guantes para el contacto con los enfermos, limpieza, cambio de sondas, las manos se emplean para ponerse y quitarse los guantes desechables y son las manos las que acumulan las bacterias patógenas y acaban transmitiéndolas a los enfermos.
Las más graves trasmisiones de enfermedades iatrogénicas son las infecciones nosocomiales provocadas por el uso de guantes no estériles o de jeringuillas no esterilizadas, instrumental médico mal esterilizado o el realizar inspecciones médicas o dentales sin usar guantes.
Hay un gran número de casos documentados de infecciones de hepatitis B y C trasmitidas por dentistas y cirujanos.

En África

Uno de los más terribles casos de muertes en masa provocada por infecciones iatrogénicas son los casos de varios hospitales de Zaire y Sudán donde no se esterilizaban o se esterilizaban mal las jeringuillas transmitiendo el virus del ébola y provocando cientos de muertes.

En España

También en España hay el caso del contagio masivo de hepatitis C en hospitales de Valencia . En febrero de 2008 el médico anestesista Juan Maeso Vélez fue condenado a 1.933 años de prisión, por contagiar hepatitis C a 275 pacientes intervenidos quirúrgicamente en cuatro hospitales de Valencia entre 1988 y 1997. Juan Maeso que estaba enfermo de hepatitis C sedaba a sus pacientes con la misma jeringuilla con que antes se había inyectado morfina.

Cirujano trémulo

En algunos casos la afección iatrogénica o incluso la muerte pueden ser debidas a enfermedades musculares, sensoriales, nerviosas o mentales de los médicos. Esto puede ir desde la mano trémula del cirujano que provoca errores, a las largas horas de trabajo y la falta de sueño que inducen a errores.

Médicos asesinos

En casos extremos a los médicos y enfermeras sociópatas que asesinan a un gran número de sus pacientes, como los «ángeles de la muerte» de Lainz, la enfermera británica Beverley Gail Allitt, el doctor GP Harold Shipman, el médico estadounidense Richard J. Schmidt (que intentó asesinar a su novia infectándola del VIH con sangre contaminada).

Medicina y poder

Casos históricos hay multitud pero cabe destacar en los que se suma el poder del médico como el caso del cirujano alemán, Ernst Ferdinand Sauerbruch (1875-1951), que se volvió loco y siguió practicando operaciones absurdas en muchos pacientes, con resultados mortales. Sin embargo, el corporativismo médico, y el poder y la fama del médico llevó a que sus colegas no pudieran detenerlo.

Tortura

La tortura practicada por médicos puede ser considerada como una forma extrema de iatrogénesis, la implicación activa de médicos en actos de tortura está bien documentada tanto para juzgar hasta dónde pueden aguantar las víctimas, como para aplicar tratamiento que incrementen el dolor o también como torturadores, no hace falta recordar la implicación de los médicos nazis en los programas de tortura, eugénesis y eutanasia. En especial el caso del joven doctor Josef Mengele.
Los casos de experimentación médica poco ética son muy frecuentes, por ejemplo el conseguir cobayas humanas para experimentación de forma involuntaria y sin el consentimiento informado de los pacientes.
 

Fuente: http://bioeticapacifico.blogspot.com/2009/06/iatrogenia.html


Lo siento! Sorry!

I'm back!! depues de mucho tiempo sin escribir, realmente no se que decir, solo puedo pedir disculpa!!!

samedi 1 février 2014

jod757.listen2myradio.com

jod757.listen2myradio.comjod757.listen2myradio.com

Juste pour ne pas oublier




Juste pour ne pas oublier, le temps passe, les souvenirs

restent bons ou mauvais, gravés à jamais, on ne les oublie 

pas, on fait juste semblant de ne pas y penser .


J'ai appris que les adieux feront toujours mal. Que les photos

ne remplaceront jamais le plaisir qu'on éprouvait le moment

où elles ont été prises. Que les souvenirs bons ou mauvais

feront toujours pleurer et que les moments ne seront

jamais aussi forts que les sentiments qu'on éprouve..


does anybody hear her

You Don't want me, Klassss


lundi 13 mai 2013

Je suis frêle

Je suis frêle comme le roseau au vent
C'est mon dernier jour de printemps
La vie m'a prêté si peu de temps
J'ai peur de mourir, j'ai peur de souffrir
Combien me reste-t-il de temps
Je suis frêle comme le roseau au vent...

Je suis frêle comme la perle de rosé...
Qui, sur une feuille, s'est posée
Doucement la nuit l'a laissé tomber
Le jour se lève, tout se reveille
Elle n'aura vécu qu'une veille
Je suis frêle comme la perle de rosé...

Je suis frêle comme le soleil couchant...
On voudrait le garder comme otage
Il se cache derrière l'ocean...
Place à la pluie, place à la nuit
C'est la fin de mon premier voyage
Je suis frêle comme le soleil couchant...

O.D
le taciturne

Du Haut De Ma Tour

Du haut de ma tour
Il fait froid, il me semble
C'est pourquoi mon coeur tremble
J'entends le vent en trance
Peut-être a-t-il froid comme j'ai froid?
Peut-être a-t-il peur comme j'ai peur?
Qu'il fouette tout sur son passage
Je sens ton absence...

Du haut de ma tour
Je suis seul, il me semble
C'est pourquoi mon coeur tremble
J'entends les saules qui pleurent
Peut-être pleurent-ils sur moi?
Sur ma vie remplie d'effroi
Et je dois traverser la rivière
Même si, je risque de me noyer
Je sens ton absence...

Nos corps naissent sains
Nous les pourrissons nous même
J'ai vécu
Mais l'amour que j'ai connu
N'a pas eu la force de tenir debout

La tête entre mes mains
Je crois que ma tour penche
J'ai le coeur si tendre
Que les fleurs en tremble
De ma fenêtre la brise me les fait entendre

Le soir tombe, la mort vient
Si j'y suis encore demain
Auras-tu une heure
Une vie à me donner
La vie et l'amour, aujourd'hui pour moi meurent
Mon Coeur pleure...

                                         O.D
                             Le taciturne